Depuis le 1er septembre 2013 le Maire cumule les actions prohibées par l'article L 52-1 du code électoral et les diverses jurisprudences, pour influencer en toute illégalité les électeurs et en particulier les nouveaux arrivants.
Ces interdictions concernent les bulletins municipaux même s'ils sont émis avant le 1er premier septembre 2013 s'ils sont consultables après cette date sur le site de la municipalité, et s'ils mettent en avant les élus et ne respectent pas la neutralité des informations sur la gestion du bilan et des réalisations (Conseil d'Etat du 5 juin 1996 n° 173642, Courts de Cassation Chambre Criminelle du 30 janvier 2013 pourvoi 11-89224), ce qui est le cas sur le site de VIEUX BOUCAU. Le bulletin municipal du mois de décembre 2013 avec ses titres accrocheurs (Ensemble pour...) ressemble à une propagande pour la liste présentée par le Maire "Ensemble notre village" (CE du 28 juillet 1993, requête 142586). La couverture de ce bulletin ainsi que des précédents ressemblent dans leurs couleurs et leur présentation aux programmes distribués par la liste présentée par le Maire sortant, et éditées sur le même papier et par le même imprimeur CE du 23 mai 1990, LEGE-CAP-FERRET).
Alors qu'il est demandé en période préélectorale de dépersonnaliser les cartons d'invitation, celui de l'inauguration de la fête de la coustille est intitulé "Pierre FROUSTEY, Maire, Jean-loup MARLIANGEAS, Président de l'Office du Tourisme" tous les deux candidats. La création d'une fête comme celle de la coustille qui est une première dans le village est parfaitement prohibée, surtout lorsqu'elle dure du 15 février au 15 mars, se terminant 8 jours avant les élections municipales par un apéritif dinatoire présidé par le Maire candidat, dans le même cas le juge a considéré qu'il s'agissait d'une "manoeuvre de nature a exercer une influence sur le scrutin" (CE du 13 janvier 1997, élections municipales de Gignac).
Les sanctions pour ces délits sont très sévères, car elles relèvent de la fraude électorale.